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Positionner la France au Cœur du Sport Mondial : Vers un Nouveau Modèle Fiscal pour Attirer les Fédérations Internationales

Les fédérations sportives internationales, comme la FIFA (Fédération Internationale de Football Association), la Fédération Internationale de l’Automobile (FIA) et l’Union Cycliste Internationale (UCI), ne se contentent pas d’organiser des compétitions prestigieuses ; elles influencent profondément le développement du sport mondial, tout en ayant un impact économique notable sur les pays hôtes. La France, en attirant ces grandes fédérations, pourrait solidifier sa position dans le secteur sportif international, dynamiser son économie en créant des emplois, attirer des investissements et profiter d'une visibilité accrue sur la scène mondiale. Cependant, pour parvenir à se démarquer, elle doit affronter une concurrence mondiale de taille puisque des pays comme la Suisse et Singapour mettent en place des régimes fiscaux très avantageux, offrant des incitations qui compliquent la tâche française.

Cet article vise à explorer les raisons pour lesquelles un régime fiscal spécifique pour les fédérations sportives internationales est non seulement souhaitable pour la France, mais également réalisable. Nous analyserons ainsi les défis juridiques et économiques liés à la création de ce cadre, en tirant des leçons du rejet de l’amendement FIFA, et nous proposerons des solutions concrètes qui permettraient à la France de demeurer fidèle à ses valeurs tout en devenant plus compétitive sur la scène sportive internationale.

 

POURQUOI LES FEDERATIONS SPORTIVES INTERNATIONALES RECHERCHENT-ELLES DES CONDITIONS FISCALES AVANTAGEUSES ?


Les fédérations sportives internationales ne sont pas des entreprises commerciales ordinaires ; elles opèrent souvent comme des organisations à but non lucratif, avec pour mission de promouvoir et de développer leur sport respectif. Cependant, leur fonctionnement nécessite des ressources considérables, tant pour financer les compétitions que pour soutenir leurs programmes de développement à travers le monde. Par conséquent, ces organisations cherchent à optimiser leur situation fiscale afin de pouvoir rediriger davantage de fonds vers leurs projets et initiatives.

La Suisse représente un parfait exemple de pays ayant su attirer et conserver les sièges de nombreuses fédérations sportives grâce à une politique fiscale favorable. Depuis des décennies, elle offre des conditions exceptionnelles aux organisations internationales, leur permettant de bénéficier de taux d'imposition réduits et de facilités administratives qui rendent leur implantation d’autant plus attrayante. Cette approche a permis à Zurich de devenir un pôle mondial pour le sport, attirant des fédérations telles que la FIFA, qui a solidifié sa base en Suisse. Cependant, malgré cette ancrage historique en Suisse, la FIFA a récemment transféré une partie de ses opérations à Miami, renforçant ainsi sa présence en Amérique du Nord pour se rapprocher des marchés américain et latino-américain, désormais stratégiques pour son expansion.

En comparaison, la France, malgré ses infrastructures sportives de qualité et sa position géographique centrale en Europe, n’a pas encore réussi à rivaliser avec la Suisse dans ce domaine. La complexité du système fiscal français et le coût du travail élevé restent des freins significatifs pour ces organisations. Les attirer représente donc un véritable défi pour la France, mais un défi qu’elle pourrait relever en ajustant intelligemment son régime fiscal.

 

L’AMENDEMENT FIFA : UNE TENTATIVE AMBITIEUSE, MAIS INFRUCTUEUSE


En 2023, face à cette concurrence internationale accrue pour attirer les sièges des fédérations sportives internationales, le gouvernement français a introduit l’amendement FIFA dans le cadre du projet de loi de finances. Ce dispositif visait à positionner la France comme une destination privilégiée pour ces organisations, en proposant un régime fiscal plus attractif, comparable à celui offert par des pays comme la Suisse.

L’amendement FIFA reposait sur deux mesures clés. La première concernait l’exonération de l’impôt sur les sociétés pour les fédérations sportives internationales reconnues par le Comité International Olympique (CIO). Cette disposition visait à réduire la charge fiscale de ces organisations, leur permettant d’opérer dans un environnement économique compétitif tout en libérant des ressources pour leurs projets sportifs et sociaux. La seconde mesure portait sur l’allègement de la fiscalité applicable aux salaires des employés expatriés travaillant pour ces fédérations en France. Cet avantage avait pour objectif de compenser le coût élevé du travail en France, souvent perçu comme un frein pour l’implantation de sièges internationaux.

En attirant ces organisations, le gouvernement espérait stimuler la création d’emplois directs et indirects dans le secteur sportif, renforcer l’écosystème local par la présence accrue d’événements internationaux, et accroître la visibilité de la France sur la scène mondiale. Cependant, malgré ses ambitions, l’amendement a fait face à des critiques importantes, notamment en raison de son incompatibilité avec le principe d’égalité devant les charges publiques inscrit dans la Constitution française.

Le Conseil constitutionnel, saisi par des opposants à cette mesure, a estimé dans sa décision[1] que les avantages fiscaux proposés créaient une rupture injustifiée d’égalité. En particulier, il a pointé un manque de critères objectifs pour justifier ces exemptions et une absence de garanties solides quant aux bénéfices pour l’ensemble de la population française. Ce rejet a mis en lumière les défis auxquels la France est confrontée lorsqu’il s’agit de concilier compétitivité fiscale et respect des principes constitutionnels. Bien qu’il n’ait pas abouti, cet épisode souligne la nécessité d’élaborer un cadre fiscal équilibré et cohérent, capable d’attirer des organisations internationales tout en respectant les fondements du droit public français.

 

LES AVANTAGES D’UN REGIME FISCAL SPECIFIQUE POUR LES FEDERATIONS SPORTIVES INTERNATIONALES


Bien que l’échec de l’amendement FIFA ait pu sembler un obstacle dans la stratégie du gouvernement , l’idée de créer un régime fiscal adapté reste non seulement viable mais potentiellement très bénéfique pour l’économie française.

 

1. Des retombées économiques directes et indirectes

L’implantation de fédérations sportives en France pourrait avoir un effet de levier sur l’économie nationale. Les grands événements organisés par ces fédérations attirent un afflux massif de visiteurs, générant ainsi des retombées économiques pour plusieurs secteurs : hôtellerie, restauration, transport, services de loisirs. De nombreux exemples, comme la Coupe du Monde de la FIFA ou les Jeux Olympiques, montrent que les villes hôtes peuvent générer des milliards d'euros en revenus grâce à l’organisation de ces événements.

Néanmoins, cette vision optimiste mérite d’être nuancée par une analyse des coûts réels pour les finances publiques. L’organisation de tels événements requiert des investissements colossaux dans les infrastructures, la sécurité et la logistique, souvent financés par l’argent des contribuables. Ces dépenses massives sont rarement compensées par les recettes générées, comme l’ont démontré plusieurs études critiques des Jeux Olympiques[2] ou de certaines Coupes du Monde[3], où les bénéfices économiques escomptés se sont révélés bien inférieurs aux coûts engagés.

Ainsi, la question de savoir s’il est pertinent de renforcer encore ces organisations déjà économiquement viables par des avantages fiscaux devient centrale. Les fédérations sportives internationales, à l’instar de la FIFA ou du CIO, disposent de revenus importants générés par la vente de droits télévisés, de sponsoring et de partenariats. Leur viabilité économique n’est donc pas menacée. Dès lors, accorder des exonérations fiscales substantielles à ces entités soulève un enjeu d'acceptabilité sociale. Pour les citoyens, il peut sembler injuste que des fédérations sportives bénéficient d’avantages fiscaux considérables alors que les petites entreprises ou les ménages doivent faire face à des pressions fiscales croissantes.

 

2. Un soutien accru au développement du sport en France

Un régime fiscal favorable pour les fédérations sportives internationales ne se limiterait pas à attirer ces organisations en France ; il pourrait également devenir un levier stratégique pour le développement sportif national. Avec les ressources financières libérées par une fiscalité allégée, les fédérations auraient la capacité de réinvestir dans des initiatives locales et nationales visant à promouvoir le sport sous toutes ses formes.

L’une des priorités pourrait être de rendre le sport plus accessible aux jeunes générations. Des programmes de sensibilisation et d’initiation dans les écoles, le financement de clubs sportifs scolaires ou encore des campagnes nationales pour encourager l’activité physique pourraient voir le jour grâce à ces ressources. Cela répondrait à un enjeu de santé publique et contribuerait à la lutte contre la sédentarité et les inégalités d’accès au sport.

De plus, les infrastructures sportives existantes pourraient bénéficier d’un soutien accru. Les fédérations pourraient participer au financement de la rénovation ou de la construction d’équipements sportifs modernes, accessibles et durables, dans des zones urbaines et rurales. Cela inclurait des terrains multisports, des gymnases ou encore des équipements spécialisés pour répondre aux besoins des disciplines moins représentées.

 

3. Renforcement de la position de la France en tant que centre du sport mondial

Attirer des fédérations sportives internationales grâce à un cadre fiscal avantageux offrirait à la France une opportunité unique de se positionner comme un pôle d’excellence dans le domaine du sport mondial. Ce positionnement stratégique dépasserait le simple rayonnement économique : il placerait la France au cœur des décisions globales liées au sport.

En accueillant les sièges de fédérations prestigieuses telles que la FIFA ou la FIA, la France renforcerait son influence dans la gouvernance du sport international. Cette présence permettrait au pays de participer activement à l’élaboration des réglementations sportives, aux décisions stratégiques concernant l’organisation des compétitions mondiales, et à la définition des politiques de développement du sport à l’échelle planétaire. Une telle influence pourrait également bénéficier aux athlètes français, en leur offrant un environnement compétitif plus favorable et des opportunités accrues sur la scène internationale.

Par ailleurs, devenir un centre névralgique pour les fédérations sportives internationales renforcerait la capacité de la France à organiser des événements sportifs majeurs. Une présence accrue de ces organisations sur le territoire national faciliterait les candidatures pour accueillir des compétitions prestigieuses, comme la Coupe du Monde de football, les Championnats du monde d’athlétisme ou encore des tournois de tennis de premier plan. Ces événements ne se contentent pas d'attirer des spectateurs du monde entier ; ils renforcent également la visibilité internationale du pays et son image de destination dynamique et innovante.

En termes de rayonnement culturel et social, ce rôle central dans le sport mondial pourrait contribuer à promouvoir des valeurs universelles telles que le fair-play, la solidarité et l’inclusion, renforçant ainsi le « soft power » français. Le sport, en tant qu’élément fédérateur, joue un rôle crucial dans la construction d’une image positive du pays à l’étranger. À l’échelle nationale, il constitue un levier pour consolider la cohésion sociale, en rassemblant les citoyens autour d’un sentiment de fierté partagé lors des réussites sportives.

 

LES DEFIS JURIDIQUES ET LA NECESSITE D’UNE REFORME LEGISLATIVE


La mise en place d’un régime fiscal spécifique pour les fédérations sportives internationales présente plusieurs défis. Le rejet de l’amendement FIFA par le Conseil constitutionnel a rappelé la nécessité de respecter le principe d’égalité devant les charges publiques, énoncé dans la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789. Toute modification du cadre fiscal doit ainsi être réfléchie avec rigueur afin d’éviter des déséquilibres injustifiés entre les différentes organisations.

Les tentatives antérieures d’introduction d’exonérations fiscales pour ces fédérations ont mis en évidence l’importance de définir des critères d’éligibilité clairs et cohérents. Il est impératif de concevoir un cadre juridique solide, reposant sur des critères objectifs et mesurables, tels que l’impact économique ou l’organisation d’événements de grande envergure en France. Un dispositif transparent et rigoureux renforcerait à la fois la légitimité et l’attractivité de ce régime fiscal. À titre d’exemple, les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont généré un chiffre d’affaires estimé à 5 milliards d’euros pour l’économie française, notamment grâce au tourisme et à l’hôtellerie, tout en créant environ 150 000 emplois temporaires liés à leur organisation[4]. De même, la Coupe du Monde de Rugby 2023, organisée  en France, a attiré plus de 600 000 visiteurs étrangers, engendrant environ 1,2 milliard d’euros de retombées économiques[5]. Ces exemples illustrent que l’impact économique des grands événements peut être précisément évalué et servir de base à l’octroi d’exonérations fiscales conditionnelles.

En outre, des critères relatifs au soutien des initiatives locales pourraient être intégrés au dispositif. Une fédération qui investit dans le développement du sport en France, par exemple en finançant la rénovation d’infrastructures sportives ou en soutenant des clubs amateurs, pourrait bénéficier de réductions fiscales proportionnelles à l’ampleur de ses investissements. Ainsi, une contribution de 10 millions d’euros à la construction de complexes sportifs en zones rurales pourrait justifier une exonération partielle de l’impôt sur les sociétés.

 

PROPOSITIONS DE SOLUTIONS CONCRETES


Pour surmonter les obstacles juridiques identifiés et renforcer l’attractivité de la France auprès des fédérations sportives internationales, une réponse adaptée nécessite des actions concrètes, alignées sur les enjeux identifiés et les ressources disponibles.

L’une des premières pistes pourrait être la création d’un statut juridique spécifique pour les fédérations sportives internationales. Ce statut permettrait de reconnaître leur rôle unique en tant qu’acteurs essentiels du sport mondial, tout en justifiant la mise en place d’un régime fiscal adapté. Inscrit dans la loi, ce statut offrirait un cadre sur mesure pour ces organisations, respectant les principes constitutionnels tout en leur accordant des exonérations fiscales spécifiques. Une telle mesure permettrait d’assurer une base légale solide, minimisant les risques de rejet par le juge constitutionnel  comme cela a été le cas pour l’amendement FIFA en 2023.

Par ailleurs, il serait pertinent d’envisager un système d’exonérations fiscales ciblées et conditionnelles. Plutôt que d’accorder des avantages généralisés ne faisant l’objet d’aucun contrôle, ces exonérations pourraient être limitées aux fédérations capables de démontrer leur impact économique significatif sur le territoire français. Par exemple, des allégements fiscaux pourraient être accordés aux organisations qui s’engagent à organiser des événements sportifs majeurs en France, générant ainsi des retombées économiques tangibles, ou qui investissent directement dans des projets locaux, comme la rénovation d’infrastructures sportives. Cette approche différenciée garantirait une meilleure adéquation entre les avantages accordés et les bénéfices réels pour la collectivité.

Un autre levier clé pour garantir la réussite de ces mesures réside dans un dialogue constructif entre le gouvernement, les fédérations et les experts fiscaux. En réunissant ces différents acteurs autour de la table, il serait possible d’identifier les besoins spécifiques des fédérations tout en tenant compte des contraintes juridiques et économiques propres à la France. Ce processus de concertation renforcerait la confiance entre les fédérations et l’État, tout en permettant la conception de solutions fiscales à la fois attractives et viables. Une telle collaboration pourrait également inclure des engagements mutuels, renforçant ainsi le partenariat entre les fédérations et les autorités publiques.

La transparence et la responsabilité constituent également des éléments essentiels pour assurer l’acceptabilité sociale de ces mesures fiscales. Les fédérations bénéficiant de ces avantages devraient être tenues de publier régulièrement des rapports détaillant leur impact économique et social en France. Ces rapports pourraient inclure des données sur les retombées économiques locales, le nombre d’emplois créés, ou encore les initiatives de développement sportif soutenues. Ce mécanisme permettrait de rassurer les contribuables sur l’utilisation des ressources publiques et de garantir la légitimité du régime fiscal.

Enfin, toute réforme fiscale en faveur des fédérations sportives internationales devrait s’inscrire dans une stratégie plus large de développement sportif en France. Ce cadre global pourrait inclure le soutien aux jeunes athlètes, l’amélioration des infrastructures sportives et la promotion d’événements sportifs de grande envergure. Une telle approche intégrée permettrait de créer un écosystème sportif attractif, capable non seulement d’attirer des fédérations internationales, mais aussi de renforcer la position de la France en tant que leader sur la scène sportive mondiale. En capitalisant sur ces synergies, la France pourrait maximiser les bénéfices économiques, sociaux et culturels associés à ces initiatives.

 

CONCLUSION : UNE VISION POUR L’AVENIR


La France se trouve à un moment charnière où elle peut redéfinir son rôle sur la scène sportive mondiale en adoptant des réformes fiscales adaptées pour attirer les fédérations sportives internationales. Cependant, cette ambition doit s’inscrire dans une démarche pragmatique et équilibrée, qui prenne en compte les réalités économiques, les contraintes constitutionnelles et les attentes sociales. Si les retombées économiques liées à l’implantation de ces organisations sont indéniables, leur coût pour les finances publiques et l’acceptabilité sociale des avantages fiscaux qu’elles pourraient recevoir ne doivent pas être sous-estimés.

L’un des défis majeurs sera de concilier compétitivité fiscale et justice sociale. Les citoyens doivent percevoir ces réformes comme bénéfiques non seulement pour les organisations concernées, mais aussi pour la société dans son ensemble.  Cette opportunité, bien qu’attrayante, ne pourra se concrétiser que si elle repose sur un équilibre entre ambition économique et responsabilité sociale. Ainsi, loin d’une vision purement idéalisée, il s’agit d’adopter une approche réaliste et durable, où l’attractivité économique est pensée en synergie avec les besoins de la population et les principes fondamentaux de justice fiscale.


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[1] Décision n° 2023-862 DC du 28 décembre 2023

[2] Observatoire Français des Conjonctures Économiques (OFCE). (2023). L’impact économique des Jeux Olympiques de Paris 2024.

[3] Centre de Droit et d'Économie du Sport (CDES). (2007). La rentabilité de la Coupe du Monde de rugby 2007.

[4] Comité d’Organisation de Paris 2024. (2024). Rapport sur les retombées économiques des Jeux Olympiques de Paris 2024.

[5] Rugby World Cup Organising Committee. (2023). Economic impact of the 2023 Rugby World Cup in France.


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